Exposition du 14 janvier au 10 mars 2012

La Fondation Van Gogh et Sextant et plus


présentent

C’était pas gai mais pas non plus triste, c’était beau.*

Exposition
du 14 janvier au 10 mars 2012

Vernissage samedi 14 janvier 2012 - 18h00

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Pierre Ardouvin, Caroline Duchatelet, Cédric Eymenier, Katia Kameli, Pierre Malphettes, Caroline Le Méhauté, Armand Morin, Nicolas Moulin & Bertrand Lamarche, Alexandra Pellissier, Alexandre Perigot, Nicolas Pincemin, Lawrence Weiner.

Espace Van Gogh
Place du Docteur Félix Rey
13200 Arles

du lundi au vendredi 11h/18h
samedi et dimanche 11h/13h & 14h/18h
entrée libre

Renseignements : + 33 (0)4 90 49 94 04
17 rue des suisses F-13200 Arles
visites guidées sur réservation
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Naturel, urbain, sauvage ou industriel... le paysage connaît plusieurs acceptions. Genre autonome depuis que la bascule s’est opérée entre ce qui faisait office de décor à une scène et son avènement comme sujet principal d’une composition, le paysage traverse l'histoire de l'art tout en racontant celle des hommes.
De l'expression d'idéaux et d'utopies géopolitiques au socle des expériences sensibles et perceptives du monde, il relate ce rapport aux territoires, aux espaces contemplés mais aussi parcourus, domptés ou fantasmés, rêvés ou exilés.
Chez Van Gogh, il est nourri de visions nocturnes, dévoilé en arrière plan d’espaces clos ou encore libéré au sein de vastes étendues. Il est aussi l’un des genres privilégiés de l’artiste lors de son séjour arlésien.
De l’atelier, les peintres en sortiront les toiles vers sa rencontre en plein air. Dehors, ils lâcheront les pinceaux pour en faire un support, un cadre et un matériau même de création.
Si le paysage est longtemps pictural, les pratiques depuis le 20ème siècle ont ouvert et multiplié les techniques et les médiums propices à sa re-présentation.
Aujourd’hui, le paysage reste l’un des grands genres de l’art, cette «fenêtre ouverte sur le monde »1 que les artistes s’emploient à modeler, capturer, révéler ou réinventer.

L'exposition "C’était pas gai mais pas non plus triste, c'était beau" se veut une traversée en territoire méconnu, un récit, pas si fleuve, d'appropriations singulières, un panorama clair obscur
conjuguant approches multiples et horizons lointains, issu des pratiques d'artistes de notre temps. [...]