Au détour de la mer de nuages. Vues d'exposition
http://www.florenceloewy.com/gallery/artists/alexandra-pellissier-2/
« Au détour de la mer de nuages » exposition du 16 mars au 13 avril 2013
SHUNT , Espace Vallès, Saint Martin d'Hères, du 11 mai au 7 juillet 2012
Galerie Municipale d'Art Contemporain
14 place de la République, 38400 St-Martin-d'Hères
04 76 54 4140
Ouvert du mardi au samedi de 15 heures à 19 heures et sur RDV pour les groupes et les scolaires.
espace.valles@ville-st-martin-
www.ville-st-martin-dheres.fr/
Accès bus : ligne 21, arrêt Croix-Rouge
Exposition du 14 janvier au 10 mars 2012
La Fondation Van Gogh et Sextant et plus
présentent
C’était pas gai mais pas non plus triste, c’était beau.*
Exposition
du 14 janvier au 10 mars 2012
Vernissage samedi 14 janvier 2012 - 18h00
Pierre Ardouvin, Caroline Duchatelet, Cédric Eymenier, Katia Kameli, Pierre Malphettes, Caroline Le Méhauté, Armand Morin, Nicolas Moulin & Bertrand Lamarche, Alexandra Pellissier, Alexandre Perigot, Nicolas Pincemin, Lawrence Weiner.
Espace Van Gogh
Place du Docteur Félix Rey
13200 Arles
du lundi au vendredi 11h/18h
samedi et dimanche 11h/13h & 14h/18h
entrée libre
Renseignements : + 33 (0)4 90 49 94 04
17 rue des suisses F-13200 Arles
visites guidées sur réservation
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Naturel, urbain, sauvage ou industriel... le paysage connaît plusieurs acceptions. Genre autonome depuis que la bascule s’est opérée entre ce qui faisait office de décor à une scène et son avènement comme sujet principal d’une composition, le paysage traverse l'histoire de l'art tout en racontant celle des hommes.
De l'expression d'idéaux et d'utopies géopolitiques au socle des expériences sensibles et perceptives du monde, il relate ce rapport aux territoires, aux espaces contemplés mais aussi parcourus, domptés ou fantasmés, rêvés ou exilés.
Chez Van Gogh, il est nourri de visions nocturnes, dévoilé en arrière plan d’espaces clos ou encore libéré au sein de vastes étendues. Il est aussi l’un des genres privilégiés de l’artiste lors de son séjour arlésien.
De l’atelier, les peintres en sortiront les toiles vers sa rencontre en plein air. Dehors, ils lâcheront les pinceaux pour en faire un support, un cadre et un matériau même de création.
Si le paysage est longtemps pictural, les pratiques depuis le 20ème siècle ont ouvert et multiplié les techniques et les médiums propices à sa re-présentation.
Aujourd’hui, le paysage reste l’un des grands genres de l’art, cette «fenêtre ouverte sur le monde »1 que les artistes s’emploient à modeler, capturer, révéler ou réinventer.
L'exposition "C’était pas gai mais pas non plus triste, c'était beau" se veut une traversée en territoire méconnu, un récit, pas si fleuve, d'appropriations singulières, un panorama clair obscur
conjuguant approches multiples et horizons lointains, issu des pratiques d'artistes de notre temps. [...]
Derrière les panneaux, il y a des hommes
Vernissage jeudi 02 décembre 2010 à 18h30
Performance de Chloé Maillet & Louise Hervé à 19h
Exposition du 03 décembre 2010 au 12 février 2011
Derrière les panneaux, il y a des hommes - cet avertissement singulier que l’on peut croiser sur les autoroutes quand celles-ci sont en travaux invite le conducteur à ralentir car, comme il est très bien dit : derrière les panneaux, il y a bien des hommes. Ce signalement met à mal le mythe d'un univers autoroutier parfaitement aseptisé, hermétique et telle la perche apparaissant dans la filmographie de Godard, il témoigne de la présence d'une mécanique oeuvrant en coulisses à la production de nos déplacements. Le hors champ intègre le cadre. Car pour mieux s’en affranchir, il s’agirait de dévoiler la matière de l’art.
Ainsi, d’Edgar Degas à Michel Polnareff dont l'introduction de sa chanson La chambre vide nous donne à écouter le brouhaha de l'orchestre qui s'accorde, ce qui aurait dû rester caché, au même titre qu’une confidence, a intégré le champ de la représentation. D’abord apanage des avant-gardes, ce débordement sur la marge s’est progressivement étendu à la culture populaire. Aujourd’hui à l'ère du "making of", nous savons tous que derrière les cimaises, il y a des hommes. Des hommes qui parfois, dubitatifs, s'interrogent sur cette limite qui - au-delà du maniérisme de la dégoulinure, de la caméra à l'épaule, du flou artistique, du négligé chic – continue de séparer ce qui est en cours, de ce qui est achevé, de ce qui appartient au privé et ce qu'on donne au public.
Le précurseur sombre est une image empruntée à Gilles Deleuze pour expliquer le zig zag, mouvement initial selon le philosophe à la création du monde. Celui que l’on ne voit pas, l’ultime étape précédant l’éclair, la révélation.
Derrière les panneaux, il y a des hommes, volet 1 s’inscrit dans ce moment fragile et déterminant, où tout semble encore possible. L’arrêt sur image que constitue toute exposition s’est opéré trop tôt, en tout cas plus tôt que d’habitude. Un dérèglement dans le protocole s’est en effet produit, interrompant le travail en cours et le laissant dans un état d’inachèvement apparent.
Certaines pièces sont ainsi à peine sorties de leur caisse, quand d’autres sont encore emballées, ou posées à même le sol. Des cimaises apparaissent incomplètes alors que des passages de circulation sont curieusement obstrués. Derrière les panneaux, il y a des hommes, repose sur cette équivoque, entre provisoire et suspension, entre instabilité et équilibre.
À ce stade, rien ne permet de distinguer avec exactitude les œuvres des dispositifs de présentation. Sans le filtre de l’accrochage, les identifications s’avèrent plus délicates. Entre étagères, ébauches sur papier, constructions en bois, volumes sous bâche, il est parfois difficile de se prononcer sur le statut exact de ces objets qui composent cet ensemble disparate et éclaté. Et pourtant tout est là. L’exposition, même dans son caractère fragmentaire, offre tous les indices pour reconstituer ce qui aurait pu se jouer si un événement n’avait pas fait disparaître le précurseur sombre en plein travail.
Avec :
Jérémie Gindre
Louise Hervé & Chloé Maillet
Pierre Labat
Alexandra Pellissier
Gert Robijns
Eric Tabuchi
Et Richard Artschwager
Exposition LUISANTS-SPORADIQUES du 15 mars au 10 avril 2010
Retour vers le futur, CAPC, Bordeaux.
exposition du 5 FÉVRIER au 16 MAI 2010
BUY-SELLF // RETOUR VERS LE FUTUR
CAPC, musée d'art contemporain de Bordeaux
Le CAPC a invité l’association artistique Buy-Sellf à proposer une exposition qui permettra de faire le point sur les artistes et les oeuvres dont le groupe a récemment accompagné la production. Depuis plus de dix ans Buy-Sellf développe des stratégies de soutien, d’accompagnement et de développement du travail des artistes plasticiens, en inscrivant principalement sa réflexion autour des problématiques liées à la production dans ses dimensions techniques, socio-politiques, économiques et marchandes.
Artistes présentés :
Wilfrid Almendra, Fayçal Baghriche, Beni Bischof, Simon Boudvin, Lilian Bourgeat, Stéphanie Cherpin, Clédat & Petitpierre, Anne Colomes, Patrice Gaillard et Claude, Vincent Kohler, Laurent Kropf, Vincent Laval, Briac Leprêtre, Stéphane Magnin, Tony Matelli, Damien Mazières, Mathieu Mercier, Nicolas Milhé, Anita Molinero, Nicolas Moulin, Bruno Peinado, Alexandra Pellissier, Laurent Perbos, Frédéric Plateus, Guillaume Poulain, Jérémy Profit, Serge Provost, Sylvain Rousseau, Victor Vasarely, Stéphane Vigny
http://www.claudinecolin.com/fr/518-buy-sellf-retour-vers-le-futur
Exposition Parking Lot Dahlias, du 7 novembre au 19 décembre 2009
Vernissage vendredi, 6 novembre 2009 à 18h30
Ouvert du mardi au samedi, 14h à 18H, groupes sur RDV
ARTISTES:
Colin CHAMPSAUR
Boris CHOUVELLON
Sara DOMENACH
Joffrey FERRY
Yann GERSTBERGER
Alexandra PELLISSIER
Émilie PEROTTO
Cédric PONTI
Bettina SAMSON
Ateliers d'artistes de la Ville de Marseille
11-19 Boulevard Boisson
écotone, du 3 octobre au 5 décembre 2009
Écotone
Exposition inaugurale de La Station dans la halle sud du Chantier 109.
Vernissage prévu le 2 octobre 2009. Exposition jusqu’au 5 décembre 2009
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En s’installant dans la halle sud du Chantier 109, La Station change de milieu pour investir un lieu habitée de son histoire de vies et de morts.
Ce nouvel espace ouvrira ses portes à l’automne par une exposition intitulée Écotone.
Elle sera composée d’un projet monographique dans la salle principale et d’un dispositif collectif dans la galerie de circulation. Ces deux espaces seront habités par l’idée de constituer un grand bestiaire sauvage qui serait, en ce lieu, un genre de revanche des animaux.
L’écotone est ce secteur de transition entre deux communautés écologiques adjacentes, sorte d’espace commun au sauvage et au domestique. Le terme vient des mots grecs oikos (maison / milieu de vie) et tonos (tonalité / tension), un endroit donc où les écologies sont dans la tension. Trivialement, c’est par exemple le lieu où le randonneur égaré se retrouve face au cougar affamé. C’est aussi la limite de transition entre deux écosystèmes différents, l’endroit où les végétations se mêlent dans la tension ; un espace qui va à l’encontre de la simplification du système de classification. C’est une zone de tensions, de frontières organiques et animales, colonisée donc par des espèces végétales ou animales ubiquistes.
Cette exposition sera construite autour, d’une part d’une proposition de Michaël Dans, artiste belge de 37 ans, dessinateur, sculpteur, parfois moqueur et d’autre part d’une exposition collective mêlant des artistes d’ages et de notoriétés différentes, dans une grande galerie d’histoire naturelle et d’histoires pas si naturelles. L’ensemble de cette exposition sera “chapeautée” par la figure de Joseph Beuys dont nous diffuserons le soir du vernissage, le film de Helmut Wietz documentant la performance de 1974, I Like America and America Likes Me, face à face entre l’artiste et le coyote.
— une exposition monographique de Michaël Dans. Il est né en 1971 en Wallonie, à Verviers, il a vécu ici ou là, à Verviers longtemps, à Amsterdam, à Berlin, à Bruxelles et aujourd’hui à Anvers. Le dessin à l’encre de chine, en grand et parfois très grand formats, est le cœur de sa pratique, mais il s’amuse également de la photographie et de la sculpture. Dans la tradition moqueuse des artistes wallons, Broodthaers ou Lizène, il se joue en grand ironique des représentations parfois enfantines qui l’inspirent et auxquelles il tord le cou, comme pour en montrer le derrière, pas toujours très propre.
— Une exposition collective avec Pascal Bernier, Valère Costes, Geoffrey Cottenceau / Romain Rousset, Noël Dolla, Èrik Dietman, Karim Ghelloussi, Michel François, Lina Jabbour, Laurent Le Deunff, Sonia Lévy, Ingrid Luche, Zora Mann, Géraldine Pastor-Lloret, Bruno Pelassy, Alexandra Pellissier, Tony Regazzoni, Peter Rösel
— Une projection de la performance de Joseph Beuys filmée par Helmut Weitz, I Like America and America Likes Me, lors du vernissage
— Une installation de Matthieu Clainchard, Antimatière / avenue Thiers en extérieur suite à sa résidence à la Villa Arson au printemps 2009
2009-10-03 | 2009-12-05
La Station
89 route de turin
06300 NICE